Jean-Marie Lauria Essay, Research Paper

Jean-Marie Lauria

Professor Harris

Intermediate French

April 15, 2001

L’?volution des fabricants de le narrateur est remarquable. Il a ?t? fait comprendre dans le commencement de l’histoire que le fabricant de fen?tre se d?velopperait d’?tre un homme timide silencieux dans un monsieur fort quelque peu psychotique. Le narrateur donne beaucoup d’exemples de la voie qu’il a ?t? compar?e ? la voie qu’il devient. Ses actions dans le pass? et ses actions pr?sentes sont aussi diff?rentes que la nuit et le jour!

Sa passivit? au d?but de l’histoire est incrediable. Son incapacit? de s’approcher des gens est atroce. On n’imaginerait jamais d’homme qui semble ?tre si timide peut devenir si violent. Son de l’acte de charecter ferait on pense qu’il l’a finalement perdu! Lui qui transforme partout dans l’histoire m’a laiss? le lecteur se demandant pourquoi. Ce qui l’a conduit ? une telle folie qui l’a fait forcer une fen?tre sur les hommes de fen?tre en arri?re. Particuli?rement ? l’arri?re un homme qui ne lui a jamais fait rien.

Sa transformation n’est pas imm?diate, mais plut?t graduelle. Il se d?veloppe graduellement, en embrassant un vieil homme nous voyons qu’il n’est pas la m?me personne il une fois ?tait. Ces petits pas ?taient uncharecteristic du narrateur. L’?tude des yeux de quelqu’un passant par vous ne semble pas ?tre commune ? moi ou vous, mais au narrateur ce n’est pas quelque chose qu’il ferait d’habitude . C’est pourquoi quand j’ai lu l’histoire je savais que l’auteur n’expliquerait pas dans un tel grand detial la transformation du narrateur d’?tre timide ? ce qu’il devient plus tard!

Il croit que deamons le fait le faire. Nous voyons plus tard que la raison pourquoi il transforme dans qui il est, est parce qu’il d?cide qu’il n’est fatigu? de faire de rien, Il trouve la fen?tre. J’ai pens? que c’est significatif parce qu’il se rend compte qu’il y a un monde de leur. Le nous devrions vivre non existent juste . Que nous soyons des ?tres, que nous sommes remplis de la vie. Que nous devions agir, pas ?tre passifs. Il cet apprend tout trop bien.

Je l’ai trouv? tr?s facile de toucher au narrateur qui a senti la haine profonde pour l’homme de fen?tre. Plusieurs fois leur sont les gens nous entrons en contact avec ce sans raison nous n’aimons pas. Je me suis vraiment senti quoique que ses actions soient non appel?es pour. Bien qu’il pense qu’en donnant les pauvres gens la laideur de fen?tres plus agr?able fera disapear. Mais qu’il ?choue ? comprendre est que des fen?tres agr?ables agissent seulement comme un sparadrap. Ses actions n’ont pas ?t? les deux r?fl?chies s?rieusement et non appel? pour. Le narrateur nous explique que la vie est belle. Je suis d’accord avec lui enti?rement. Je crois que cette histoire ?tait non seulement tr?s int?ressante, mais c’?tait aussi une r?v?lation.