Реферат История французской кухни
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La cuisine française fait référence à divers styles gastronomiques dérivés de la tradition française. Elle a évolué au cours des siècles suivant ainsi les changements sociaux et politiques du pays. Le Moyen Âge a vu le développement de somptueux banquets qui ont porté la gastronomie française à un niveau supérieur, avec une nourriture décorée et fortement assaisonné par des chefs tels que Guillaume Tirel. Avec
La cuisine française ne fut codifiée qu'au XXe siècle par Auguste Escoffier pour devenir la référence moderne en matière de grande cuisine. L'œuvre d'Escoffier laissa toutefois de côté une grande partie du caractère régional que l'on peut trouver dans les provinces françaises. L'essor du tourisme gastronomique, avec l'aide notamment du Guide Michelin, a contribué à un certain retour aux sources des gens vers la campagne au cours du XXe siècle et au-delà. La cuisine gasconne influença également largement la cuisine dans le sud-ouest de
En
Fin 2006, un groupe de gastronomes et de chefs, dont Paul Bocuse, Alain Ducasse, Pierre Troisgros, Marc Veyrat et Michel Guérard militèrent pour que la cuisine française entre au patrimoine mondial de l'UNESCO. Le président Nicolas Sarkozy appuya cette demande le 23 février 2008.
Histoire
La cuisine française a énormément évolué au cours des siècles. À partir du Moyen Âge, une cuisine nationale unique et créative a commencé à émerger. Cet élan initié par plusieurs grands chefs est la conséquence des différents mouvements sociaux et politiques. Au fil des années, différents noms ont été donnés aux styles de cuisine français qui ont été codifiés par différents maîtres-cuisiniers. Tout au long de leur vie, ces chefs ont été tenu en haute estime pour leurs contributions à la culture du pays. La cuisine française s'est principalement développée dans la ville de Paris avec les chefs du roi, mais elle s'est finalement étendue à tout le pays et a même été exportée par delà les mers.
Moyen Âge: Dans la cuisine médiévale, les banquets étaient chose commune dans l'aristocratie. Plusieurs plats y sont servis que ce soit en confusion ou tous à la fois. Les grosses pièces de viande étaient coupées en tranches et généralement consommée à la main, entre le pouce et deux doigts. Les sauces étaient alors épaisse et très assaisonnées, notamment avec de la moutarde très parfumée. Les tourtes occupaient une bonne place dans les banquets, où la croute servait alors généralement de contenant d'avantage que comme nourriture. Ce n'est guère avant la fin du Moyen Âge que les tartes à base de pâte brisée ne se sont développées. Une fois le repas terminé, on servait des issues de table qui devinrent par la suite le dessert moderne. Ces issues de table se composaient généralement de dragées à base de morceaux de sucre ou de miel durci, de fromage et de vin épicé, comme l'hypocras.
À l'époque, les ingrédients des repas variaient considérablement selon les saisons et le calendrier liturgique. Ainsi, alors que les banquets étaient nombreux et opulents de la fin du printemps jusqu'à la fin de l'automne, ils se faisaient plus rares en hiver. Beaucoup d'aliments étaient alors conservées à l'aide de sel, d'épices, de miel ou d'autres conservateurs. Les élevages étaient ainsi abattus au début de l'hiver. La viande de bœuf était alors salée, alors que la viande de porc était salée puis fumée. Le bacon et les saucisses étaient fumés à la cheminée, tandis que la langue et les jambons étaient passés au saumure puis séchés. Les concombres étaient aussi saumurés, alors que les légumes verts étaient conditionnés dans des bocaux avec du sel. Les fruits, les noix et les légumes à
Les étangs artificiels étaient remplis de carpes, de brochets, de tanches, de brèmes, d'anguilles et d'autres poissons. Des cours permettaient de garder la volaille, telle que les pigeons ou les pigeonneaux qui étaient réservés à l'élite. Le gibier était très prisé, mais relativement rares, et incluait le cerf, le sanglier, le lièvre, le lapin et les oiseaux. Les jardins potagers regorgeaient d'herbes aromatiques telles que la tanaisie, la ruta, la menthe pouliot et l'hysope qui sont rarement utilisées aujourd'hui. Les épices étaient des biens précieux et très coûteux à cette époque. Parmi les plus utilisés, on trouvait le poivre, la cannelle, le clou de girofle, la noix de muscade et le macis. Cependant certaines des épices utilisées à l'époque dans la cuisine française ne le sont plus aujourd'hui, comme par exemple la cubèbe, le poivre long, la maniguette et le galanga. Des saveurs aigres-douces accompagnaient généralement les plats, en combinant du vinaigre et du verjus avec du sucre (pour les riches) ou du miel.
L'effet visuel des plats était très prisé et il était courant de voir des couleurs chatoyantes. Parmi les couleurs employées, le vert pouvait être obtenu par l'addition de jus d'épinards et de la partie verte des poireaux, la couleur jaune provenait du safran ou de jaunes d'œuf, tandis que le rouge provenait du tournesol et le pourpre de la maurelle ou de l'héliotrope. Des feuilles d'or ou d'argent pouvaient également être déposées au pinceau avec du blanc d'œuf sur la surface des aliments. C'était le cas, par exemple, de la tourte parmérienne qui ressemblait à un château dont les tourelles étaient des pilons de poulets recouvert de feuilles d'or. L'un des plats les plus grandioses de l'époque était du cygne ou du paon rôti et recousu dans sa peau avec son plumage intact, ainsi que les pattes et le bec dorés à l'or. Étant donné que les deux oiseaux sont filandreux et ont un goût désagréable, de la viande hachée et assaisonnée d'oiseaux plus savoureux, comme l'oie ou le poulet, pouvait prendre la place de leur chair à l'intérieur de leur plumage.
Le plus connu des chefs français du Moyen Âge s'appelait Guillaume Tirel, également connu sous le nom de Taillevent. Il a travaillé dans de nombreuses cuisines royales au cours du XIVe siècle. Après son premier poste en tant que marmiton en 1326, il devint le chef de Philippe VI puis du fils de Jean le bon. Le dauphin, devenu roi de
Ancien régime: Sous l'Ancien Régime, Paris était la plaque tournante de la culture et de l'activité économique françaises. C'est donc naturellement à
Deux types principaux de corporation coexistaient à l'époque : celles qui fournissaient les matières premières (bouchers, poissonniers, marchands de grains, jardiniers) et celles qui fournissaient des aliments préparés (boulangers, pâtissiers, sauciers, traiteurs). Certaines offraient à la fois des matières premières et des aliments préparés, telles que celles des rôtisseurs et des charcutiers. Ils avaient ainsi la possibilité de vendre des tourtes et des plats ainsi que de la viande crue et de la volaille. Cette coexistence causaient des tensions avec leurs concurrents directs, les bouchers et les volaillers. Les apprentissages se déroulaient au sein de ces corporations et suivaient différents grades allant d'assistant-cuisinier à chef-cuisinier. Les maîtres-queux jouissaient d'un pouvoir important auquel était associé des revenus conséquents et la sécurité de l'emploi. Parfois, le personnel qui travaillait dans les cuisines royales faisait partie de la hiérarchie de la corporation. Il était alors nécessaire pour eux de prévoir leur reconversion. Ceci n'était pas rare dans la mesure où le règlement de la corporation des cuisiniers de
Au cours du XVe et XVIe siècles, la cuisine française a assimilé de nombreux aliments venus du Nouveau Monde. Bien qu'elles mirent du temps avant d'être adoptées, le registre des banquets de Catherine de Médicis montre un service de soixante-six dindes au cours d'un seul diner. Par ailleurs, le cassoulet prend ses
XVIIe siècle: La haute cuisine française trouve sa source au XVIIe siècle avec un chef nommé La Varenne. Celui-ci est considéré comme l'auteur du premier véritable livre de cuisine française, « Le Cvisinier françois », en 1651. Son livre comprend la plus ancienne référence à l'utilisation de graisse de porc pour réaliser le roux (préparation à base de farine pour lier les sauces). L'ouvrage comporte deux sections : l'une pour les jours de viande et l'autre pour le jeûne. Ses recettes ont marqué un changement par rapport au style de cuisine du Moyen Âge. Il a ainsi introduit de nouvelles techniques visant à créer des plats plus légers et une présentation plus modeste des tartes, des pâtisseries et des chaussons.
En 1691, sous le règne de Louis XIV, le chef François Massialot écrit « Le Cuisinier roïal et bourgeois ». Ce livre contient les menus servis à la cour royale en 1690. À l'époque, Massialot travaille principalement comme cuisinier indépendant. De par leur lien avec la royauté, Massialot et beaucoup d'autres cuisiniers royaux reçoivent certains privilèges. Ils ne sont ainsi pas soumis à la réglementation des corporations et peuvent ainsi organiser des réceptions de mariage et des banquets, sans aucune restriction. Son livre est le premier qui est écrit sous la forme d'une liste alphabétique de recettes, préfigurant ainsi le premier dictionnaire culinaire. Il y apparaît également la première illustration d'une marinade, que ce soit pour une marinade de volaille et de gibier à plumes ou de poissons et de crustacés. Le fait que ses recettes n'indiquent pas les quantités des ingrédients suggère que Massialot écrit pour des cuisiniers qualifiés.
Les rééditions successives du « Cuisinier roïal et bourgeois » incluent des améliorations importantes telles que l'ajout d'un verre de vin aux bouillons de poisson. Des définitions sont également ajoutées dans l'édition de 1703. Lors de l'édition de 1712, l'ouvrage est renommé en « Le Nouveau cuisinier royal et bourgeois » et porté à deux volumes. Cette réédition est également rédigée dans un style plus élaboré avec des explications détaillées sur la technique. D'autres petites préparations sont incluses dans cette édition aussi et un troisième plat est ajouté au le repas. Le ragoût, plat traditionnel français, fait sa première apparition comme plat à part entière dans cette édition, alors qu'auparavant il est considéré comme une garniture.
XVIIIe et XIXe siècles:
La carrière de Carême contribue au raffinement de la cuisine française. La base de son style provient de ses sauces, qu'il nomment les sauces « mères » : la sauce espagnole, le velouté, la sauce béchamel. Souvent considérées comme des fonds de sauce, elles sont bien souvent à la base des autres sauces et sont encore connues aujourd'hui. Chacune de ces sauces est réalisée en grande quantité dans sa cuisine car elles servent de base à de multiples produits dérivés. Carême dispose ainsi de plus d'une centaine de sauces à son répertoire. Les soufflés apparaissent également pour la première fois dans ses écrits. Bien que bon nombre de ses préparations semblent extravagantes aujourd'hui, il simplifie et codifie une cuisine qui était encore plus complexe auparavant. Cette codification s'exprime à travers trois ouvrages majeurs : « Le Maître d'hôtel français » (1822), « Le Cuisinier parsien » (1828) et « L'Art de la cuisine française au dix-neuvième siècle » (1833-5).
Première moitié du XXe siècle: Toutefois, la modernisation et l'organisation de la haute cuisine française sont le plus souvent attribuées à Auguste Escoffier. Son influence commence avec l'apparition des grands hôtels en
Escoffier simplifie également le menu moderne et la structure des repas. Il publie une série d'articles traitant de cet ordre qui sont finalement publiés dans son « Livre des menus », en 1912. Ce type de service adopte le service dit « service à la russe » dans lequel le repas est divisé en plusieurs plats, chacun servi séparément dans son assiette. Ce service avait été rendu populaire par Félix Urbain Dubois dans les années 1860. La contribution la plus importante d'Escoffier reste la publication du « Guide Culinaire », en 1903, qui établit les bases de la cuisine française. Il s'agit d'un ouvrage collaboratif dans lequel plusieurs chefs de haut rang illustrent l'acceptation universelle de ce nouveau style de cuisine.
Le Guide Culinaire' rend désuet l'utilisation de sauces
Deuxième moitié du XXe siècle: Fuyant les guerres coloniales portugaise en Afrique, un grand nombre de migrants portugais sont arrivés en
Le terme de « nouvelle cuisine » a été utilisé à plusieurs reprises dans l'histoire de la cuisine française. Cette description est ainsi observée dans les années 1740 avec la cuisine de Vincent
La première d'entre elles est le rejet de la complication excessive en la cuisine. Le temps de cuisson de la plupart des poissons, des fruits de mer, du gibier, du veau, des légumes verts et des pâtés est par ailleurs fortement réduit dans le but de préserver leurs saveurs naturelles. Le recourt à la cuisson à la vapeur se développe ainsi largement dans ce nouveau style. L'utilisation des ingrédients les plus frais possibles constitue la troisième caractéristique. En outre, les grands menus sont abandonnés en faveur de menus courts. Cinquièmement, les marinades de viandes et de gibiers cessent d'être utilisées. Sixièmement, les sauces épaisses telles que les sauces espagnole et béchamel sont abandonnées en faveur de l'assaisonnement des plats avec des herbes fraîches, du beurre de qualité, du jus de citron et du vinaigre. Par ailleurs, les chefs de
Certains spécialistes spéculent sur le rôle de
Diversité de la cuisine régionale
La cuisine française est généralement perçue en dehors de la France à travers sa grande cuisine servie dans des restaurants aux prix élevés. Cette cuisine très raffinée a, la plupart du temps reçu l'influence des cuisines régionales. Celles-ci sont caractérisée par une extrême diversité de style. Traditionnellement, chaque région possède sa propre cuisine. Même si des variantes locales peuvent exister, on peut diviser la carte culinaire de
Les vins français et les fromages français font partie intégrante de la cuisine française dans son ensemble dans laquelle ils sont utilisés comme ingrédients et comme accompagnements.
Grand Ouest: Le nord-ouest de
La cuisine du nord-ouest utilise le beurre, la pomme et la crème, comme par exemple dans les moules farcies aux amandes. L'agriculture de cette région s'est beaucoup développée en raison de son climat doux.
La cuisine du val de Loire est fameuse pour ses poissons au vin blanc. En plus des produits de la mer, la cuisine ligérienne fait la part belle au gibier sauvage, au veau, à l'agneau, à la viande charolaise, à la poule Géline et à des fromages de chèvre de qualité. La vallée de
Les départements de
Sud-Ouest: Bordeaux est connue pour son vin tout comme l'ensemble du sud-ouest de
La cuisine basque est connue pour son utilisation de la tomate et de piment.
La région du Gers est réputée pour ses élevages de volailles, tandis que la région de la Montagne Noire et de Lacaune produisent du jambon et du saucisson. Le maïs blanc est massivement cultivé dans la région, tant pour l'engraissement des canards et des oies pour le foie gras, que pour la production de « cruchade », un gruau de maïs. On y cultive également les haricots qui sont au cœur de la recette du cassoulet. La région toulousaine est reconnue pour sa production de saucisse de Toulouse, qui peut également accompagner une variante locale du cassoulet, le cassoulet de
Sud-Est: Dans le Languedoc-Roussillon, les restaurants de Sète, Bouzigues et Mèze peuvent tout autant servir des huîtres de l'étang de Thau que des moules, en plus des spécialités de poissons de Sète : la bourride, la tielle ou la rouille de seiche. La région languedocienne produit également du jambon cru, parfois connu sous le nom de jambon de montagne. Le roquefort est un fromage conçu à partir du lait des brebis paissant sur l'immense plateau du Larzac. La zone des Cévennes offre une grande variétés de champignons, de châtaignes, de baies, de miel, d'agneau, de gibier, de saucisses, de pâtés et de fromages de chèvre. Des sangliers peuvent aussi être trouvés dans les régions montagneuses du
Les chèvres et les moutons prolifèrent en Corse où les chevreaux et les agneaux sont utilisés pour préparer des plats tels que le « stufato », des ragoûts et des rôtis. Parmi les fromages produits en Corse, le « brocciu » est le plus populaire. Les châtaignes récoltées dans la forêt de Castagniccia sont utilisées pour produire la farine qui est utilisée à tour de rôle pour faire du pain, des gâteaux ou de la polenta. La forêt fournit également des glands pour nourrir les porcs et les sangliers qui constituent la plus grande source de protéines de la cuisine de l'île. Le porc de l'île est utilisé pour faire du jambon, des saucisses ou d'autres spécialités de charcuterie corses telles que la coppa (échine de porc séchée), le lonzu (filet de porc séché), le figatellu (saucisse de foie), le salamu (saucisse fumée), salsiccia (saucisson épicé), la panzetta, figarettu (foie fumé et séché) et prisuttu (jambon cru). Les vergers corses regorgent de clémentines (titulaires d'une AOC), de citrons, de nectarines et de figues sèches. Le citron confit est utilisé dans les nougats et les gâteaux, tout comme le brocciu et les châtaignes qui sont également utilisés dans les desserts.
La région Provence-Alpes-Côte d'Azur est la plus grande région productrice d'agrumes, de légumes, de fruits et de fines herbes en France . Elle réalise également la plus importante production d'olives et d'huile d'olive. Outre la lavande qui est utilisée dans de nombreux plats de Haute-Provence, la cuisine régionale emploie d'autres herbes aromatiques telles que le thym, la sauge, le romarin, le basilic, la sarriette, le fenouil, la marjolaine, l'estragon, l'origan et la feuille de laurier. Le miel, les fromages de chèvre, les saucissons séchés à l'air, les fruits de mer (en zone côtière), l'agneau et la viande de bœuf sont des ingrédients très populaires dans cette région. Les sauces régionales font une large place à l'ail et aux anchois. La cuisine méditerranéenne utilise une grande quantité de légumes pour des préparations plus légères. La Camargue possède les rizières les plus septentrionales d'Europe et cultive notamment une spécialité locale, le riz rouge. L'alcool le plus emblématique de la région provençal est sans nul doute le célèbre Pastis au goût anisé. Pendant l'hiver, les truffes sont fréquemment consommées en Provence alors que le dessert traditionnel de Noël servi en Provence, les « treize desserts », se compose de pâte de coing, de biscuits, d'amandes, de nougat, de pommes et de fougasses.
Les fruits et les légumes sont très populaires dans la cuisine de la vallée du Rhône. On y retrouve également de la volaille de Bresse, des pintades de la Drôme et des poissons en provenance des étangs de la Dombes et des montagnes de Rhône-Alpes. Lyon et la Savoie fournissent des saucisses de grande qualité alors que les régions alpines produisent de nombreux fromages comme l'abondance, le reblochon, la tomme et le vacherin des Bauges. La cuisine des Alpes est ainsi connue comme la cuisine où le fromage fondu, les pommes de terre et les charcuteries sont rois. La célèbre chartreuse est une liqueur originaire du monastère de la Grande Chartreuse, dans le massif de la Chartreuse. Parmi les grands chefs de la vallée du Rhône, on peut notamment citer Fernand Point, Paul Bocuse, les frères Troisgros et Alain Chapel. N'oublions pas la cuisine de l'Auvergne avec sa côte de bœuf à l'os à moëlle, ses belles charcuteries, ses produits des bois et des jardins et ses fromages affinés.
Grand-Est : La Bourgogne est réputée pour ses vins. Le brochet, la perche, le crabe de rivière, les escargots, la volaille de Bresse, le bœuf charolais, les groseilles, le cassis, le gâteau de miel, le Chaource et l'Époisses sont toutes des spécialités de la gastronomie locale à la fois de la Bourgogne et de la Franche-Comté. Le kir et la crème de cassis sont des liqueurs fabriquées à partir de cassis. La région de Dijon est également renommée pour sa moutarde de Dijon. La cuisine de Bourgogne utilise beaucoup l'huile et notamment celle de noix et de colza. La région jurassienne produit quant à elle des spécialités à base de viande fumée.
On y trouve ainsi beaucoup de plats à base de porc (lard et saucisse), de choucroute et de bière. Le gibier occupe également une place de choix dans la région en raison d'une réglementation de la chasse particulièrement favorable. Le gibier et le porc sont aussi très populaires en Champagne, même si cette région tire surtout sa renommée de son vin blanc effervescent, appelé champagne. La région Champagne-Ardennes est également connue pour sa spécialité à base de tripes de porc, avec notamment l'andouillette de Troyes. Quant à la Lorraine, elle est surtout connue pour ses confitures de fruits délicats, tarte à la mirabelle, de ses Macarons de Nancy,madeleine , dragées,Glace Plombières, patée et potée et sa célèbre quiche lorraine.
La cuisine du nord, marquée par des influences ch'tis, est profondément marquée par l'utilisation des endives, de la pomme de terre, du porc (le Sauté de Cochon à la moutarde) et de la bière. Dans cette région septentrionale de
Littérature
1) http://ru.wikipedia
2) http://www.kuking.net/c7.htm
3) «Французская кухня у вас на столе» Автор - составитель Могильный Н.П. Издательство «Эксмо»,2003.